En septembre 2000, Marseille a vécu un épisode météorologique exceptionnel qui a marqué la mémoire de ses habitants. Dans la nuit du 19 au 20 septembre, des pluies diluviennes se sont abattues sur la cité phocéenne, provoquant des inondations spectaculaires et des dégâts considérables.
Des pluies records
En seulement quelques heures, des quartiers entiers ont été inondés. L’eau a submergé les rues du Vieux-Port, de La Timone et de L’Estaque, emportant des voitures et rendant certaines routes impraticables. Les précipitations, comparables à un mois entier de pluie en un seul jour, ont surpris les habitants et mis en lumière la vulnérabilité de la ville face aux intempéries.
Quartiers touchés et dégâts
Les quartiers les plus affectés ont été ceux situés en bordure des rivières et des collines : coulées de boue, maisons inondées, commerces et infrastructures endommagés. Heureusement, grâce à l’intervention rapide des services de secours, le bilan humain a été limité, mais les dégâts matériels ont été importants et ont nécessité plusieurs semaines de nettoyage et de réparation.
Leçons tirées
Cet épisode a rappelé l’importance de la prévention des inondations et de l’entretien des cours d’eau urbains. Depuis, la ville de Marseille a investi dans des systèmes de drainage et des alertes météorologiques plus performants pour limiter les risques lors de futurs épisodes pluvieux.
Conclusion
Les inondations de septembre 2000 restent gravées dans la mémoire collective de Marseille. Elles symbolisent la puissance de la nature et l’importance d’une vigilance constante face aux aléas climatiques, surtout dans une ville où relief et urbanisation se combinent pour amplifier les effets des intempéries.
1 commentaire
Bonjour,
J’y étais, et je sortais de cours ds une école d’esthétique qui se trouvait rue de Rome. Dc j’ai pris le 41 il me semble pour ensuite prendre le 97. Avec le 41 je descend devant Toinou, en face de Baze. Je crois que c’est à partir de la que la pluie commence à tomber, je fais un tour ds les magasins etc…. Je me dis que la pluie va cesser et je pourrais prendre le 97. Je rentre ds le magasin André car il y’a trop d’eau, c’est l’inondation, et je reste ds ce magasin un long moment, je sais pas quoi faire. Et y’a une personne de mon quartier qui passe et qui me dit que l’on devrait monter tout Belsunce car les bus ne vont plus au terminus. Et c’est comme ça que l’on aperçu le 97 vers Pelletan. On a pu rentrer chez nous. Dc je suis arrivé chez moi vers 20h voire Plus.